Aujourd’hui nous avons commencé la journée à faire quelques exercices de mathématiques avec les enfants. Je pense que nous sommes encore plus enjoués qu’eux quand ils trouvent une réponse à une addition ou une soustraction. Nous sommes vraiment fiers de nos petits protégés quand nous voyons les progrès qu’ils peuvent faire jour après jour.
Après l’effort, le réconfort et nous nous lançons dans une partie de chaises musicales endiablée. Les enfants font souvent la tête quand ils perdent et parce qu’ils se retrouvent sur le côté à regarder les autres finir la partie. Je pense vraiment qu’il faut que nous travaillons sur cela. Pour éviter que les perdants ne soient trop tristes, ils devenaient maître de la musique; ainsi ils continuaient à participer. Après cinq ou six parties, nous avons décidé d’aller prendre un peu l’air dans la cour de l’école. Pendant que certains s’amusaient sur le tourniquet, d’autres faisaient des glissades sur le toboggan et d’autres encore jouaient avec le ballon. Encore une fois, nous remarquons un point à travailler avec eux le partage. Dès qu’un enfant avait la balle, il ne voulait pas la prêter aux autres et jouait donc seul au ballon.
Les plus grands eux ont potassé leurs devoirs avec Stefana et Valentin puis ils ont joué aux cartes et fait du calcul mental avec Dragos.
Pour ma part, je me sens de plus en plus à l’aise avec les enfants même si je ne comprends toujours pas ce qu’ils me racontent 🙂 j’ai hâte d’avoir des cours de roumain pour pouvoir peu à peu communiquer avec eux.
Today, we started the day doing some mathematics exercises with children. I think that we are more cheerful than them when they find an answer to a sum or a subtraction. We are very proud of our little dears when we see the progress they do everyday.
After work comes fun so we played a wild game of “the musical chairs”. Children often sulk when they loose because they have to wait outside of the game watching the others finishing the game. I really think that we have to work on it. To avoid that the loosers being sad, they became master of the music in this way they could continue to participate. After five or six games, we decided to go outside in the school playground. While some of them had fun on the merry-go-round, the others did some slips in the children’s slide and the rest of them played football. Once again, we noticed a point to work with them… sharing. When a child had the ball, he didn’t want to lend the ball to another one.
The biggest ones were studying their homeworks with Stefana and Valentin and then they played cards and did some mental arithmetic with Dragos.
As for me, I feel more comfortable with children even if I still don’t understand anything of what they say. I can’t wait to have Romanian lessons to be able to speak gradually with them.